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La Peur

  • Photo du rédacteur: Nelly
    Nelly
  • 24 nov. 2020
  • 5 min de lecture

En anglais, l’acronyme peur s’écrit FEAR, qui signifie False Evidence Appearing Real, qui veut dire en français, les fausses évidences qui semblent réelles.

Les peurs sont des pensées qui dominent votre cœur, vous empêchant parfois de passer à l’action et d’aller à votre prochain niveau de succès. Certaines personnes ont peur du succès.

Beaucoup ont des buts à atteindre, mais sont effrayées par les résultats de ceux-ci. Il est donc important de déceler ce qui vous fait peur.

Et les émotions ?


Ne laissez pas vos émotions décider de ce que vous devez ou ne pas faire. Il m’est souvent arrivé de ne pas me sentir bien, d’être subitement fatigué, au moment où je devais aller à la salle de sport.


Pourtant, j’étais en pleine forme la veille, et plus encore, j’ai eu une bonne nuit de 6h de sommeil. C’est ce qui arrive souvent à certaines personnes à chaque fois qu’elles veulent faire quelque chose d’important pour leur vie, leur corps commence à développer des symptômes de maladie comme des maux de tête, des boules au ventre, stress.

À quoi cela est dû ?


Ça émane d’une mauvaise pensée rentrée en nous. Celle-ci est devenue une émotion négative, elle nous pousse à mener une action négative. Et à force de pratiquer cette action, elle se changera en habitude négative, et c’est ainsi que notre caractère lui aussi sera affecté.

Qui dit mauvais caractère, dit mauvaise destinée. C’est pourquoi il est extrêmement important de contrôler nos pensées. Ne laissez pas les pensées de négation, d’abandon, d’échec affecter vos émotions.


Parce qu’une fois qu’elles prennent trop de place, elles forgent votre caractère, et il devient de plus en plus difficile de s’en débarrasser, car comme une graine devenue un arbre, qui nécessite beaucoup d’efforts pour être déraciné, ainsi est un mauvais caractère qu’on veut ôter, il devient très difficile de s’en défaire.


Le cerveau peut jouer des tours.

Le cerveau humain est un organe assez complexe qui mérite notre attention et notre compréhension lorsqu’il s’agit de l’atteinte des objectifs. Savez-vous que votre propre cerveau peut vous empêcher de continuer à faire du sport parce qu’il a mémorisé de la douleur (effort physique) à votre dernière séance de sport ?


Il considère cette douleur comme un danger pour vous et va essayer de vous protéger.

C’est ainsi que la prochaine fois que vous voudrez aller faire du sport c’est-à-dire aller vers cette douleur physique qui est l’activité musculaire ou cardio vasculaire, le cerveau va essayer de vous protéger du danger (la douleur).


C’est marrant mais beaucoup de gens tombent dans ce piège là et abandonnent vite. Rassurez-vous je suis passé par là. Il faut donc palier à cela aller faire du sport en dépit de vos émotions ou de vos sensations.


Une fois que vous allez vous habituer à fournir cet effort douloureux, le cerveau va s’habituer et commencera dès lors à vous demander d’aller faire du sport. C’est pourquoi donc les habitués de sport comme moi sommes mal à l’aise lorsque nous désertons les salles de sport.


Le cerveau fonctionne avec la répétition. Si vous prenez l’habitude de manger l’okok avec du manioc, votre cerveau peut aimer et aller jusqu’à vous exiger cela tous les jours. Habituez-vous donc à faire ce que vous savez que vous devez faire, que le vouliez ou non. Le cerveau deviendra votre allié privilégié.


Quand travailler ?

J’ai constaté avec le temps que chaque être humain a une zone de créativité et une zone d’hibernation. Cette dernière fait référence à un moment de la journée où on manque de créativité, où on a du mal à faire grand-chose. Il est donc important de s’y pencher afin de savoir quel est son rythme.


Il y a des personnes qui sont très créatives en matinée entre 4h et 9h. Moi par exemple, je suis très réceptif et créatif le matin : je lis beaucoup, je fais la prière, le sport et d’autres activités. Cependant à certains moments de la journée j’ai beaucoup plus de mal quoi que je fasse.

Dans votre zone créative, vous devez vous engager à travailler sur vos projets les plus importants, qui demandent beaucoup d’efforts, parce que dans cette zone vous êtes apte à embrasser beaucoup de choses.


Dans la zone d’hibernation vous avez du mal à accueillir des informations dans votre cerveau, vous voulez à ces moments, juste vous coucher et ne rien faire. On le retrouve chez chaque être humain. Ma femme par exemple est du soir : elle peut travailler de 21h jusqu’au matin, parce que c’est à cette heure que son cerveau est rafraîchi et reposé.


Il faut éviter dans la zone d’hibernation de pratiquer des activités colossales, mais plutôt celles qui sont lucido-éducatives, à l’exemple de la lecture, du visionnage de vidéos, du basket. Mais celles-ci doivent contribuer à vous faire grandir dans votre domaine d’activité.


Mais par exemple, étant un passionné de photo, de coaching, pendant ma zone d’hibernation, je peux lire deux pages d’un livre, regarder des vidéos qui traitent du coaching ou de la photographie, sans toutefois prendre des notes, juste pour m’amuser.


C’est ainsi que je grandis, même quand je ne suis pas dans ma zone de créativité. C’est important de connaître ces notions, pour éviter de faire beaucoup à des moments où vous n’en avez pas la capacité et que votre pic d’énergie est au plus bas.


Tiré du le livre « Je M’Organise Pour Réussir Ma Vie » de Coach William DJAMEN.


Pour te procurer le livre contacte : +33 7 84 75 79 81


Note De Valère : Ma personne j’aimerais qu’on revoit ensemble le point sur la peur.


La peur : Je sais que très souvent, c’est la peur qui nous bloque lorsqu’arrive le moment fatidique de faire quelque chose qu’on a jamais fait. Et malheureusement encore, beaucoup se laissent bouffer par la peur et n’ose pas la dépasser er ne passent jamais à l’action.


Pour dépasser sa peur, il est au préalable important de comprendre ce que c’est que la peur.

La peur c’est une émotion normale qui nous alerte sur un danger possible.


En gros, la peur est la pour te protéger de quelque chose qui t’est étrangère ou du moins qui pourrait te nuire. Quelque chose qui te fait sortir de ta zone de confort.

Ce qu’il faut comprendre ici c’est que la peur n’est pas une mauvaise en soit. C’est quelque chose de normal qu’il savoir appréhender sous le bon angle afin de l’utiliser en son avantage.


Malheureusement, très souvent les gens pense qu’avoir peur est un problème du coup, ils se battent corps et âme pour éliminer leur peur mais en ça ne marchera jamais. Pourquoi ?

Pour la simple raison qu’avoir peur n’est pas un problème, mais le problème c’est de penser qu’avoir peur est un problème.


Ceci dit, maintenant que tu as compris le problème ce n’est pas la peur, mais plutôt l’idée qu’on se fait de la peur, ce qu’il te reste à faire lorsque tu as peur c’est de dealer avec peur.

Tu sais quand tu as peur, essaie d’imaginer ta peur comme une personne en face de toi. Et essaie de discuter avec elle et tiens-lui le discours suivant : « Bonjour la peur, je sais que tu es la et que tu veux m’empêcher d’agir. Mais il faut que j’agisse donc on fait comment ? » Tu verras que ce simple petit exercice pourtant bête, t’enlèvera un poids énorme.



Ceci dit, je terminerai en te disant ceci ma personne, le courage ce n’est pas le fait de pas avoir peur, mais le courage c’est le fait d’agir malgré la peur.

Quand j’ai commencé à tourner des vidéos, je pensais qu’à force de faire des vidéos il arriverait un moment ou je ne devais plus jamais avoir peur.

Aujourd’hui j’en ai tourné plus de 100 et pourtant, à chaque fois que je mets devant la caméra pour tourner, j’ai encore et toujours peur. La seule chose qui a changé depuis devine ce que c’est : c’est la confiance en moi-même et en ma capacité à savoir gérer ma peur.

On est ensemble comme en décembre et on se ressemble ma personne.

 
 
 

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