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Photo du rédacteurNelly

L’Histoire D’Emmanuel, Le Sauveteur De Mvog-Mbi

Ma personne, Emmanuel est un jeune homme camerounais qui nous a fait l’honneur de participer à un de mes directs il y’a un peu plus d’une semaine.


Au cours de son intervention, Emmanuel a partagé avec nous son parcours de vie que je trouve remarquable et je souhaite par la présente publication que toi et moi puissions en tirer une leçon précieuse.


Emmanuel comme plus de 60% des camerounais est issu d’une famille modeste et a dû stopper ses études très jeune pour se lancer dans la vie active.


Emmanuel a fit son entrée dans la vie active en faisant la plonge dans un restaurant pour la maudite somme de 15.000 Fcfa par mois. Mais bon, il ne gardera pas ce boulot bien longtemps et retournera en chômage technique quelques mois plus tard.


Un jour, Thierry, un grand-frère du quartier (comme on le dit au Cameroun) qui lui gagnait sa vie en vendant des biscuits au marché, constatant l’oisiveté d’Emmanuel, proposa à celui-ci de venir l’aider à vendre des biscuits au marché.


A ton avis, quel était le salaire journalier d’Emmanuel ?


10% des ventes / jour. Sachant qu’Emmanuel faisait en moyenne 15.000 Fcfa de de chiffre d’affaire par jour, donc ce dernier gagnait environs 1500 Fcfa/ jour soit, 60.000 Fcfa par mois.


Oui je sais ma personne, 60.000 Fcfa par mois c’est pas assez pour toi mais pour Emmanuel, c’était le rêve surtout lorsqu’on sait qu’avant cela ne gagnait que 15.000 Fcfa par mois.


Emmanuel faisait très bien son boulot ceci à tel point qu’au fil du temps, Thierry a fini par le nommer responsable de 3 autres vendeurs de biscuits. Donc chaque soir, Emmanuel était chargé de récupérer les recettes et de les verser chez son boss.


Le temps a passé, Emmanuel en fin observateur avait fini par se rendre compte que le marché du CD avait le vent en poupe et en bon opportuniste il s’est rapidement jeter la-dessus.


Moi j’ai très souvent pensé que la vente de CD dans la rue était un marché très peu rentable voir pas du tout et je me demandais meme s’il était possible d’en vivre.


Sauf que ce soir la pendant le live, Emmanuel m’a clairement fait comprendre que parfois, il pouvait faire un bénéfice de 200.000 Fcfa en 1 jour.


Non tu n’as pas mal aux yeux la personne, j’ai bien dit 200.000 Fcfa de bénéfice par jour. 200.000 Fcfa c’est le salaire d’un professeur de lycée au Cameroun et encore.


Mais bon peu importe. Emmanuel ne va pas non plus se limiter aux CD parce qu’étant sur le marché, il avait vite fait de constater que la vente de fripperie était un business beaucoup plus lucratif.


Donc quelques années seulement après s’être lancé dans la vente de CD, Emmanuel va se lancer dans la vente de fripperie au marché de Mvog-Mbi à Yaoundé.


Il gagnait plutôt bien sa vie et n’avait absolument rien à envier aux fonctionnaires car le business de la fripperie est un business très très rentable. Mais seul ombre au tableau, Emmanuel était animé par un seul rêve : celui de l’Europe car il était persuadé que l’herbe y était beaucoup plus verte.


Donc Emmanuel va engager les démarches, mobiliser plusieurs millions et c’est ainsi que 2 ans plus tard, il se retrouve au Gabon avec 150 Fcfa en poche.


Mais bon, comme l’a dit un grand penseur, « enlever à un riche tous les biens matériels en sa possession et laissez-lui une seule chose, son cerveau, et vous pouvez être certain qu’il ne lui faudra pas beaucoup de temps pour attirer tout cet argent à lui. »


C’est exactement ce qui va se passer avec Emmanuel parce qu’en seulement quelques mois passé au Gabon, il va générer plus de 1 millions 500.000 Fcfa. Comment me diras-tu ?


Non, il ne vendait pas de la drogue. Il avait juste repris son ancien boulot de vendeur de fripperie mais cette fois ci, dans les marchés au Gabon.


Emmanuel va rester quelques temps au Gabon le temps de se refaire une santé financière pour rejoindre l’Europe. Sa détermination lui permis donc quelques temps plus tard de déposer ses valises en Italie.


Je vais m’arrêter la pour aujourd’hui mais de l’histoire d’Emmanuel, j’ai pu tirer une seule leçon :


Il n’y a pas de petit business, il y’a juste de petite gens je m’explique. Est-ce que tu aurais pu te douter qu’on puisse gagner plus de 60.000 Fcfa par mois en vendant des biscuits dans une brouette ?


Mais pourquoi est-ce que les vendeurs de biscuits semblent-ils toujours aussi pauvres ?


La vérité est que, tous les business que tu peux faire en Afrique donnent de l’argent mais le problème que beaucoup ont c’est leur manière de gérer l’argent qui entre dans leurs poches.


Imagine un seul instant qu’Emmanuel avait mis cette même énergie à développer ses business au pays plutôt qu’à chercher à aller en Europe (chose qui n’est pas mauvaise en soi), ne penses-tu pas qu’il serait beaucoup plus loin aujourd’hui ?


En fait il aura fallu qu’Emmanuel arrive en Italie pour qu’il réalise que le problème ça n’était pas son business, mais c’était la vision qu’il avait de son business dans son environnement.


Je ne sais pas dans quel secteur d’activité est-ce que tu exerces ma personne, mais je sais que peu importe le « petit métier » que tu fais, si les gens achètent ta marchandise c’est que tu résouds un problème pertinent pour eux.


Donc, ce qu’il te reste à faire si tu souhaites devenir riche, c’est de bien gérer l’argent qui est généré par ton « petit business ».


Comment ?


En développant ton intelligence financière car le secret de la prospérité financière, c’est l’intelligence financière.


Au cours du direct, Emmanuel lui-même précise que : « Si j’avais temps soit peu été au moins aussi intelligent financièrement que je ne le suis aujourd’hui, je pense que jamais je ne serais venu en Italie.


C’est seulement maintenant que je me rends compte que ce qui m’a manqué lorsque j’étais plus jeune, c’était la bonne information. Donc maintenant, moi qui détestais lire, je me retrouve en train d’acheter et de lire les livres sur l’éducation financière parce que j’ai compris mon erreur. Et quand je ne les achète pas, je les écoute en audio. »


Ma personne, cette histoire est celle d’Emmanuel, mais elle aurait très bien pu être la tienne. Je sais que très souvent je recommande vivement de lire des livres comme la chèvre de ma mère pour s’éduquer financièrement.


Mais je suis également bien conscient que tout le monde n’a pas cette patience la, donc je te propose alors ne nous rejoindre dans la masterclass que je donnerai le samedi 2 mai qui portera sur « Comment développer son intelligence financière et atteindre la liberté ».


Au cours de cette master class, je partagerai avec toi les clés de l’intelligence financière sans lesquelles, tu auras beau gagner tout l’argent du monde, tu ne pourras jamais devenir libre. Au cours de cette même master class, je te montrerai mes chiffres et comment est-ce qu’on a pu mettre en place un système qui nous permet de gagner de l’argent même en dormant.


Enfin bref, si la Masterclass t’intéresse, laisse en commentaire, « je suis interessé » afin que je sache si je dois entrer au labo pour partager mes expériences accumulées depuis bientôt 4 ans et t’éviter ainsi de passer ton temps à dépenser ton argent n’importe comment.



Sur ce ma personne, je te dis on est ensemble comme en décembre et on se ressemble.


Argenlivre.com

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