L’argent est bien, on doit l’aimer, on doit l’avoir, on doit le protéger mais, il a ses limites.
Avec tous les moyens qui ont été employés pour la santé de KOLOMO, elle ne s’est pas améliorée.
Les médecins ont notifié l’incapacité de KOLOMO à retrouver sa santé habituelle.
Après cette annonce, il a demandé le retour dans sa terre natale où il a rendu l’âme quelque temps plus tard.
Trois jours après le décès, la cérémonie des funérailles a été organisée et tout le monde était là pour des raisons diverses.
Il s’agissait entre autres : des membres du gouvernement, des partenaires d’affaires, des employés, y compris des concurrents.
Ainsi, KOLOMO s’en est allé définitivement en laissant un vide total dans la famille et dans le monde des affaires, un vide que seul, un autre héros pourrait combler.
Suite à cette disparition tragique du patron, les entreprises ont entamé une descente aux enfers jour après jour. (...)
Après le décès de KOLOMO, les partenaires ont perdu la ligne de conduite.
Toute leur confiance reposait sur la personne de KOLOMO ; l’acquisition des marchés publics a connu une baisse à la moyenne, les fournisseurs se sont désorientés, les commandes n’arrivaient plus à temps, les employés étaient
désespérés ; le problème des organes dirigeants s’est créé, les concurrents ont commencé à s’approprier le marché, le service des impôts a commencé à réclamer son dû, etc.
Tiré du livre intitulé 𝗟𝗮 𝗽𝘂𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗰𝗲𝗿𝘃𝗲𝗮𝘂 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳, écrit Mamoudou KANAMBAYE
Livre Édité par les éditions Argenlivre
Disponible sur argenlivre.com
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