Pour avoir de la valeur, il faut donner de la valeur aux autres.
Il y a des gens qui n’arrivent pas à répondre aux exigences minimales de la race humaine,
c’est-à-dire avoir de la considération et du respect pour l’autre comme on aimerait qu’on l’exprime envers nous-mêmes.
Peu importe ce que l’autre est, ou ce qu’il exprime, nous pouvons le voir et le prendre autrement.
Si on ne voit que du négatif chez l’autre, il faut s’attendre en retour à subir la même chose.
Les relations humaines sont jalonnées de hauts et de bas.
Il y a donc des attentes les uns vis-à-vis des autres, et cela est normal dans les interactions sociales.
Que l’on se trouve en famille, dans les lieux de commerce ou dans le milieu professionnel, c’est pareil.
On se focalise sur l’autre, attendant forcément qu’il fasse le premier pas.
Pourtant, il est difficile de changer l’autre sans soi-même manifester envers lui un quelconque changement.
Dans les familles, surviennent par moment des incompréhensions entre parents ou entre parents et enfants.
Chacun ne voit que les lacunes de l’autre, des moindres aux plus importantes en oubliant les points positifs.
Parfois, on use et abuse de l’autorité pour avoir les changements que l’on veut avoir vis-à-vis del’autre.
Le plus souvent, les résultats ne sont pas toujours ceux qu’on attendait. Dans le milieu professionnel, ce problème est récurrent.
Le supérieur qui ne pense qu’à son autorité atteint moins rapidement ses résultats.
Le subalterne aussi qui pense que ses collègues sont la source de ses difficultés ne peut vivre une vie professionnelle réussie et épanouie.
Ce passage est un extrait du livre 𝑳𝒆 𝒎𝒚𝒕𝒉𝒆 𝒅𝒖 𝒔𝒂𝒍𝒂𝒓𝒊𝒂𝒕 de 𝗜𝗻𝗼𝘂𝘀𝘀𝗮 𝗔𝗶𝗺𝗲́ 𝗪𝗔𝗢𝗡𝗚𝗢.
Livre édité par @Les Editions Argenlivre.
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