
Se présenter à un entretien sans préparation revient un peu à se positionner sur la ligne de départ d’un marathon sans entrainement.
Préparer son entretien s’articule autour de 3 sujets principaux.
1. 𝘼𝙨𝙨𝙪𝙧𝙚𝙯-𝙫𝙤𝙪𝙨 𝙙’𝙖𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙗𝙞𝙚𝙣 𝙘𝙤𝙢𝙥𝙧𝙞𝙨 𝙡𝙚𝙨 𝙘𝙖𝙧𝙖𝙘𝙩𝙚́𝙧𝙞𝙨𝙩𝙞𝙦𝙪𝙚𝙨 𝙙𝙪 𝙥𝙤𝙨𝙩𝙚
« Je sais ce que je ferais »
Rien de pire pour le candidat que de se retrouver pris au piège de la question classique mais si embarrassante lorsque la réponse n’a pas été préparée :
« Qu’avez-vous compris du poste ? »
Pour pouvoir répondre aux questions qui vous seront posées, vous devez scrupuleusement synthétiser les missions du poste, son enjeu ainsi que sa finalité.
Vous devez aussi être en mesure de prouver que vous disposez des qualités requises par des exemples concrets, en relatant certaines expériences de vos précédents postes.
Enfin, mettez-vous en valeur en proposant des compétences dont vous disposez et ne figurant pas sur la fiche de poste.
2. 𝙍𝙚𝙣𝙨𝙚𝙞𝙜𝙣𝙚𝙯-𝙫𝙤𝙪𝙨 𝙨𝙪𝙧 𝙡’𝙚𝙣𝙩𝙧𝙚𝙥𝙧𝙞𝙨𝙚
« Je sais où je vais »
Que l’on ne se méprenne pas, il ne s’agit pas de connaître uniquement le chiffre d’affaires de l’entreprise.
Soyez curieux, renseignez-vous sur les valeurs que véhicule l’entreprise, son positionnement sur son marché et ses futurs projets.
En effet, connaître ces éléments démontre que vous vous êtes intéressé à votre employeur potentiel d’une part, et vous permet en tant que candidat de savoir si vous êtes à mesure de vous épanouir dans cette société, d’autre part.
N’oubliez pas qu’une embauche est un échange gagnant / gagnant.
3. 𝙍𝙚𝙣𝙨𝙚𝙞𝙜𝙣𝙚𝙯-𝙫𝙤𝙪𝙨 𝙨𝙪𝙧 𝙫𝙤𝙨 𝙞𝙣𝙩𝙚𝙧𝙡𝙤𝙘𝙪𝙩𝙚𝙪𝙧𝙨
« Je sais à qui je m’adresse »
Se rendre à un entretien sans connaître la fonction de son interlocuteur est comparable à aller à la chasse sans son fusil !
Au-delà du fait de savoir à qui vous vous adressez, ce qui relève bien évidemment d’une règle de politesse élémentaire, être renseigné sur le rôle que tient la personne qui vous reçoit en entretien vous permet d’adapter votre discours, votre vocabulaire et bien sûr votre attitude.
N’hésitez pas non plus à utiliser les réseaux sociaux professionnels tel que LinkedIn.
Son parcours universitaire, ses expériences passées et ses activités extra-professionnelles sont également des indices à ne pas négliger afin d’utiliser un langage verbal proche du sien et de gagner sa confiance.
Il m’est arrivé, par exemple, d’avoir à faire à une interlocutrice qui était passionnée de cuisine et partageant la même passion, cela a permis de créer un lien et de briser la glace.
Le lieu et la date de ses dernières vacances « étalées » sur Instagram ne vous concernent pas !
Tiré du livre : 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘁𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗷𝗼𝗯 𝗱𝗲 𝘀𝗲𝘀 𝗿𝗲̂𝘃𝗲𝘀 écris par Job attitude
Note de Valère ✍️✍️ : Ma personne on récapitule. Donc pour réussir ton entretien d’embauche à coup sûr, tu devras :
1. Savoir en quoi va consister le job pour lequel tu postules. Moi il m’est arrivé de postuler pour des jobs pour lesquels mon niveau de compétence était de zéro.
Et puis de toute façon, lorsqu’on sort du bac, la en général la seule compétence qu’on a c’est savoir réciter ses cours et encore.
Donc lorsque je voulais postuler, pour remplir le CV je faisais un petit tour sur dans les forums sur internet pour savoir quelles étaient les attentes des patrons en ce qui concernait le job pour lequel je voulais postuler.
Je cherchais surtout les mots. Parce que lorsqu’un boss lit ton CV, ce sont surtout les mots clés qu’il recherche.
2. Se renseigner sur l’entreprise : ça te permet de montrer à au boss que tu t’intéresses vraiment à ce qu’ils font.
Ici par exemple, ce que je faisais c’est que je m’amusais à rappeler quelques événements qui ont entrainés de réèls tournant sur l’entreprise.
En fait, tu devras te préparer à répondre à la question suivante : « Selon vous c’est quoi Argenlivre ? »
Une fois de plus, le boss attend des mots clés.
3. Se renseigner sur l’interlocuteur : C’est la que tu te merci « Merci les réseaux sociaux ».
Ça te permettra d’etre plus persuasif et de connecter pour de vrai avec l’interlocuteur.
Et rappelle-toi que très souvent, le boss se rappellera à peine 30% de votre échange, mais dont il se rappellera, c’est surtout comment est ce qu’il s’est senti pendant votre échange, quelles sont les émotions que tu as suscitées en lui.
Cela se traduit en général par les mots tels que :
« Cette dame je la sent bien, elle a un truc, j’aime bien ce qu’elle dégage… ».
Parler au cerveau émotionnel, c’est en cela que réside la force de la persuasion et pour cela, il faut parler le langage de l’interlocuteur.
Si c’est une personne qui s’intéresse aux voitures de courses, prends-lui des exemples en rapport aux voitures de courses ou alors lorsqu’il te demandera quelle sont vos hobbies, parle lui d’un truc proche des voitures de course.
Fais-le et tu verras, ça marche à tous les coups.
Ma personne, nous voila parvenu à la fin de ce partage matinal.
Donc si jamais cette publication t’aura apporté un plus, lâche en commentaire « On continue Valère ». Afin que je sache si je suis dans une bonne dynamique.
Par ailleurs, si jamais tu en as marre de foirer tes entretiens d’embauches et que tu souhaites bénéficier d’un véritable accompagnement par une expert en la matière, Andréas CHEVALLIER, l’auteur de ce bijou de livre te donne la possibilité de la joindre tout de suite en suivant ce lien : wa.me/+33620331967
Sur ce, je te dis on est ensemble comme en décembre et on se ressemble ma personne.
Valère BELIAS
Argenlivre.com
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